Le terme « Sarasoujou » est présent dans un célèbre passage des fameux « Heike monogatari » (chronique poétique). Le « sarasoujou » ou « sal », grand arbre d’ Asie aurait pleuré la mort physique du Bouddha; ses branches seraient tombées une par une et auraient recouvert le corps du Bouddha de ses fleurs blanches telle une cygogne. Dans la fameuse chronique poétique, le fait que la couleur des fleurs de l’arbre puisse changer en un instant est un exemple pour prouver que tout est éphémère dans le monde.
Le saké est aussi éphémère. As origine, le saké était « un art de maîtrise de la température ». Maîtriser la température lors du processus de fabrication du saké était primordial et déterminant. A l’époque où les thermomètres n’existaient pas, les maîtres brasseurs produisaient les sakés en s’aidant de leurs mains pour mesurer la température. Seul les maîtres brasseurs expérimentés en étaient donc capable. Contrairement aux autres arts, comme la musique ou la peinture, le saké n’a rien à laisser à travers le temps. Mais comme il est éphémère, la maison Morikawa cherche à conserver ce goût de saké si traditionnel à la maison.

Un saké qui représenterait Hiroshima

Le temple Itsukushima, érigé par Taira no Kiyomori en tant que divinité gardienne des Heike est un symbole de Miyajima et de Hiroshima. La maison Morikawa souhaite donc à travers la désignation de saké « sarasoujou » faire connaître un saké qui représenterait Hiroshima.

Meilleur riz du Japon

Yamada Nishiki

100% du riz utilisé est le riz à saké Yamada Nishiki produit dans les zones de production de classe A du département de Hyôgo, terre d’origine de ce riz et réputé meilleur riz du Japon.

Un saké pour les jours peu ordinaires

“Sarasoujou” est un saké pour les jours peu ordinaires. La maison souhaiterait que ce saké soit dégusté pour fêter une occasion.

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